#ALA2019 | Nominée : Mimi MINSIEMI MABOLOKO | Projet : Aide aux enfants Drépanocytaires (RDC) | Prix du leadership | Catégorie : Associatif & ONG

Mimi MINSIEMI MABOLOKO
Universitaire avec un diplôme de licence en Droit économique et social. Présidente du Collectif Drépanocytose Asbl de Belgique.

Mimi MINSIEMI MABOLOKO est née à Kinshasa /RDC. Aînée de 3 enfants, elle est directement concernée par la problématique de la drépanocytose. Elle a perdu un frère de 19 ans et elle-même a été suivi au Centre "Mabanga" de Yolo sud, Centre médical réputé pour le soin des personnes drépanocytaires. Fautes de soins appropriés, elle a été transféré à Bruxelles en Belgique où elle est soignée au CHU Saint-Pierre. De par sa triste expérience, MImi MINSIEMI (porteuse du projet) s'est associé à des amis et de quelques patients et de leurs proches afin de faire entendre leurs souffrances en brisant le silence et l'ignorance autour de cette maladie de la discrimination.

QUESTIONS DÉCOUVERTE DU PROJET "AIDE AUX ENFANTS DREPANOCYTAIRES DE LA RDC"
PROJET NOMINÉ AU "PRIX LEADERSHIP"
#ALA2019 | Nominée : Mimi MINSIEMI MABOLOKO | Projet : Aide aux enfants Drépanocytaires (RDC) | Prix Leadership | Catégorie : Associatif et ONG | Coûts du projet estimer 30,000 euros TTC 1. #ALA2019 : En quoi consiste votre projet ?
Mimi : Notre projet consiste à venir en aide aux enfants drépanocytose de la RDC. (La Drépanocytose?) parlons-en! La drépanocytose aussi appelée anémie falciforme SS/AS est la première maladie génétique dans le monde, et la RDC est le 3ème pays le plus touché après l'Inde et le Nigeria. Également appelée « maladie de la douleur », elle se manifeste par une déformation des globules rouges et a pour principales conséquences une anémie chronique, des crises extrêmement douloureuses et une forte susceptibilité aux infections. La drépanocytose a été déclarée priorité de santé publique par les Nations Unies en 2008. On estime que 20 millions de congolais (soit 25 à 30% de la population) sont porteurs du gène drépanocytaire et peuvent transmettre la maladie à leurs enfants ; jusqu'à 2% des enfants naissent drépanocytaires chaque année dans le pays. Plus de la moitié d'entre eux meurent avant l'âge de 5 ans, faute d'avoir été diagnostiqués. En RDC, l'accès à des soins de qualité reste difficile, souvent par manque de personnel de santé qualifié et de moyens suffisants. Les malades sont de plus confrontés à une forte exclusion sociale liée aux préjugés, et sont parfois rejetés et accusés de sorcellerie de même que leur famille. Plus de 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, l'accès à une prise en charge médicale est quasi inexistante et trop couteux pour les familles. 2. #ALA2019 : Votre projet apporte-t-il un avantage à la société ? Mimi : Oui car beaucoup de personnes se servent des malades pour détourner des fonds et des biens destinés à soulager la souffrance des personnes touchées par cette maladie. Notre projet étant porté par une personne elle-même touchée par la drépanocytose tant à rendre justice à ces enfants marginalisés par la société. 3. #ALA2019 : Y a-t-il des partenariats techniques ou économiques à rechercher pour développer votre projet ?
Mimi : Des partenaires sérieux pouvant nous aider dans la réalisation de notre vision sont les bienvenues.
4. #ALA2019 : À quels besoins votre projet répond-il ? Mimi : Notre projet répond aux besoins d'une meilleure prise en charge des enfants drépanocytaires. Le projet "AIDE AUX ENFANTS DRÉPANOCYTAIRES" constitue une réponse à cette problématique. Les droits humains sont ouvertement bafoué car il n'y a pas de protection pour la vie et la dignité de ces enfants abandonné à leurs tristes sort, ces enfants sont voué à la mort ou délaissés dans la rue. 5. #ALA2019 : Quel est le public ciblé ? Mimi :
1. Les bénéficiaires de ce projet sont les enfants (drépanocytaires abandonnés) par leurs parents et qui se retrouvent dans la rue à Kinshasa. 2. Les familles issue de la couche la plus défavorisée qui vivent en dessous du seuil de pauvreté et incapable de pallier aux soins et une bonne hygiène de vie de leurs enfants pourront ainsi être déchargé et soulagée de la perte précoce de leurs enfants sauvé de la mort.  6. #ALA2019: Quelles sont vos solutions apportées aux besoins identifiés ? Mimi : 1. La création d’un centre d’accueil de qualité.
2. Héberger et apporter des soins primaires aux enfants drépanocytaires abandonnés.
3. Action concrète : notre association dispose d'une maison dans la commune de Masina à Kinshasa, où sont logés cinq enfants drépanocytaires abandonnés que nous avons ramassé dans la rue et pris en charge depuis 2016.
7. #ALA2019: Pour ce faire, quels sont les différents moyens techniques et/ou financiers mis en place ? Mimi : Notre association dispose entre autres, en son sein de médecins, d'infirmiers et d'autres compétences qui peuvent être utiles pour la réalisation de ce projet. 8. #ALA2019: Quel est le coût global approximatif de l'investissement nécessaire ? Mimi : Un budget de 30000€ nous aiderai à transformer cette maison à devenir un centre médico-social pour des soins, l'accueil et l'hébergement des enfants drépanocytaires abandonnés par leurs parents et se trouvent sans aucune structure d'encadrement dans la rue. 9. #ALA2019 : Quelles sont vos perspectives professionnelles à court, moyen et long terme ? Mimi : 1. À court terme: La construction d'un centre médico-social pour venir en aide aux enfants drépanocytaires orphelins et abandonnés. 2. À moyen terme: Lutter contre l’exclusion sociale. Les enfants malades sont confrontés à une forte exclusion sociale liée aux préjugés, ils sont l'objet de rejets et accusés de sorcellerie cela même au sein de leurs familles. Ils sont surnommés "AKUFA LOBI" c'est-à-dire des gens appelés à mourir demain. 3. À long terme: Intégration sociale, culturelle et professionnelle. La société ne leur consacre aucun effort d'intégration. Ils ne bénéficient d'aucun encadrement qui pourraient les aider dans la prise en charge tant médical que social. 10. #ALA2019 : Parlez-nous du succès dont vous êtes le plus fière:
Mimi : Envers et contre tout, je suis présidente du Collectif Drépanocytose Asbl de Belgique que j'ai crée avec quelques amis depuis bientôt 5 ans. Notre association est né du désir de quelques patients et de leurs proches de faire entendre leurs souffrances et leurs voix en brisant le silence et l'ignorance autour de cette maladie. Les patients dont je fais parti, ainsi que leurs familles doivent quotidiennement faire face à la maladie , leurs vies sont à jamais bouleversé du fait des multiples séjours en hôpital et du combat au quotidien contre cette lourde maladie. Ces familles en arrivent à l'isolation par manque d'assistance mais aussi par peur de la discrimination au sein de la société qui considère la drépanocytose encore comme un tabou, une maladie de la honte. Par mon témoignage, j’espères aider les autres.
Nous faisons la sensibilisation et l'information notamment dans les évènements multiculturels, les hôpitaux belges et les réseaux sociaux dont un groupe et une page Facebook suivi par plus de 6000 personnes partout dans le monde. Ceci m'a permis de faire connaitre notre combat au sein de la diaspora de Belgique. 11. #ALA2019 : Quelles sont les valeurs personnelles qui sont très importantes pour vous? Mimi : Le respect, la tolérance, l'empathie, la patience, l'écoute, la volonté, l'Amour.
12. #ALA2019 : Donnez le nom d'au moins trois personnes que vous considérez comme de grands hommes ou de grandes femmes? Mimi : Winnie Mandela, Oprah Wimphrey, Michele Obama.
13. #ALA2019 : Quels talents avez-vous ?
Mimi : Administration, Leadership, Parler en public, Artistique. 14. #ALA2019 : Quelles sont les leçons de vie que vous aimeriez transmettre à votre postérité? Mimi : La volonté et la foi sont un puissant moteur. Croire en ses rêves et se battre pour leurs accomplissement. La bonté paie toujours. 15. #ALA2019 : Pourquoi devrions-nous vous sélectionner? ET pourquoi le public devait voter pour votre projet?
Mimi : En Belgique, par manque de régularisation, je ne peux obtenir un permis de travail. Cependant malgré la maladie je me suis battu pour la vie et activement investi dans la lutte contre la drépanocytose depuis 2012.  Je me suis lancé à bras le corps dans ce combat, au nom des trop nombreux disparus pour "briser le silence" et parler au nom de ceux qui dans le silence et l'ignorance souffrent, afin de sortir la drépanocytose de l'ombre. J'espérais par mon témoignage pouvoir aider d'autres personnes. Depuis 2014 avec la création d'un groupe de partage et une page Facebook, instagram et un site web, nous comptons plus de 6000 personnes qui nous suivent sur les réseaux sociaux partout dans le monde.  Avec cette nouvelle sélection ce sera une victoire de plus contre les préjugés selon lesquels une personne drépanocytaire (anémique ss) ne peut rien accomplir et voué à une mort précoce, un beau témoignage et la reconnaissance pour le travail que nous accomplissons avec mon équipe.
LE VOTE DU PUBLIC – Les votes sont ouverts! (en un clic). – Période des votes du public : les votes électroniques sont ouverts du lundi 1er avril et seront clôturées le lundi 20 mai 2019 à minuit (date anniversaire du gala des leaders ALA). – Répartition des votes: 50% – public (sur la base de la popularité) 25% – organisateur (sur la base du respect des critères) 25% – jury (sur la base de l’appréciation du projet)
Mimi MINSIEMI MABOLOKO et le collectif drépanocytose vous donne donc rendez-vous le 9 juin à la mi-journée au Business Networking BN 1re Édition. Une rencontre entre autres, d'entrepreneurs, des rôles modèles "Inspirant", qui changent le monde. Et en soirée aura lieu le gala des leaders ALA 2019. (Le Gala des Awards)

 
#ALA2020 : « LA DIVERSITÉ AU CŒUR DES STRATÉGIES DE DÉVELOPPEMENT. »
 
 
 

Les réservations pour la saison d'Africain Lion Awards (ALA) 2019-2020 sont d'ores et déjà ouvertes!

EXPOSANTS BN 2019-2020
650 PLACES ASSISES AU BUSINESS NETWORKING BN 2019-2020
500 PLACES ASSISES AU GALA DES LEADERS #LGDL2020
eyJpZCI6IjI2IiwibGFiZWwiOiJJTlRFUk5BVElPTkFMIEJVU0lORVNTIE1BVENITUFLSU5HIiwiYWN0aXZlIjoiMSIsIm9yaWdpbmFsX2lkIjoiMSIsInVuaXF1ZV9pZCI6IndlZmoyIiwicGFyYW1zIjp7ImVuYWJsZUZvck1lbWJlcnNoaXAiOiIwIiwidHBsIjp7IndpZHRoIjoiMTAwIiwid2lkdGhfbWVhc3VyZSI6IiUiLCJiZ190eXBlXzAiOiJub25lIiwiYmdfaW1nXzAiOiIiLCJiZ19jb2xvcl8wIjoiIzgxZDc0MiIsImJnX3R5cGVfMSI6ImNvbG9yIiwiYmdfaW1nXzEiOiIiLCJiZ19jb2xvcl8xIjoiIzMzMzMzMyIsImJnX3R5cGVfMiI6ImNvbG9yIiwiYmdfaW1nXzIiOiIiLCJiZ19jb2xvcl8yIjoiIzMzMzMzMyIsImJnX3R5cGVfMyI6ImNvbG9yIiwiYmdfaW1nXzMiOiIiLCJiZ19jb2xvcl8zIjoiIzMzMzMzMyIsImZpZWxkX2Vycm9yX2ludmFsaWQiOiIiLCJmb3JtX3NlbnRfbXNnIjoiVGhhbmsgeW91IGZvciBjb250YWN0aW5nIHVzISIsImZvcm1fc2VudF9tc2dfY29sb3IiOiIjNGFlOGVhIiwiaGlkZV9vbl9zdWJtaXQiOiIxIiwicmVkaXJlY3Rfb25fc3VibWl0IjoiIiwidGVzdF9lbWFpbCI6ImluZm9AYWZyaWNhaW5saW9uYXdhcmRzLmNvbSIsInNhdmVfY29udGFjdHMiOiIxIiwiZXhwX2RlbGltIjoiOyIsImZiX2NvbnZlcnRfYmFzZSI6IiIsInB1Yl9wb3N0X3R5cGUiOiJwb3N0IiwicHViX3Bvc3Rfc3RhdHVzIjoicHVibGlzaCIsInJlZ193cF9jcmVhdGVfdXNlcl9yb2xlIjoic3Vic2NyaWJlciIsInN1Yl9kZXN0Ijoid3Bfc3Vic2NyaWJlIiwic3ViX3dwX2NyZWF0ZV91c2VyX3JvbGUiOiJzdWJzY3JpYmVyIiwic3ViX2FyX2Zvcm1fYWN0aW9uIjoiIiwic3ViX2ZlZWRiX2tleSI6IiIsInN1Yl9zZ2FfaWQiOiIiLCJzdWJfc2dhX2xpc3RfaWQiOiIiLCJzdWJfc2dhX2FjdGl2YXRlX2NvZGUiOiIiLCJzdWJfdHh0X2NvbmZpcm1fc2VudCI6IkNvbmZpcm1hdGlvbiBsaW5rIHdhcyBzZW50IHRvIHlvdXIgZW1haWwgYWRkcmVzcy4gQ2hlY2sgeW91ciBlbWFpbCEiLCJzdWJfdHh0X3N1Y2Nlc3MiOiJUaGFuayB5b3UgZm9yIHN1YnNjcmliaW5nISIsInN1Yl90eHRfaW52YWxpZF9lbWFpbCI6IkVtcHR5IG9yIGludmFsaWQgZW1haWwiLCJzdWJfdHh0X2V4aXN0c19lbWFpbCI6IkVtcHR5IG9yIGludmFsaWQgZW1haWwiLCJzdWJfcmVkaXJlY3RfdXJsIjoiIiwic3ViX3R4dF9jb25maXJtX21haWxfc3ViamVjdCI6IkNvbmZpcm0gc3Vic2NyaXB0aW9uIG9uIFtzaXRlbmFtZV0iLCJzdWJfdHh0X2NvbmZpcm1fbWFpbF9mcm9tIjoiIiwic3ViX3R4dF9jb25maXJtX21haWxfbWVzc2FnZSI6IllvdSBzdWJzY3JpYmVkIG9uIHNpdGUgPGEgaHJlZj1cIltzaXRldXJsXVwiPltzaXRlbmFtZV08XC9hPi4gRm9sbG93IDxhIGhyZWY9XCJbY29uZmlybV9saW5rXVwiPnRoaXMgbGluazxcL2E+IHRvIGNvbXBsZXRlIHlvdXIgc3Vic2NyaXB0aW9uLiBJZiB5b3UgZGlkIG5vdCBzdWJzY3JpYmUgaGVyZSAtIGp1c3QgaWdub3JlIHRoaXMgbWVzc2FnZS4iLCJzdWJfdHh0X3N1YnNjcmliZXJfbWFpbF9zdWJqZWN0IjoiW3NpdGVuYW1lXSBZb3VyIHVzZXJuYW1lIGFuZCBwYXNzd29yZCIsInN1Yl90eHRfc3Vic2NyaWJlcl9tYWlsX2Zyb20iOiIiLCJzdWJfdHh0X3N1YnNjcmliZXJfbWFpbF9tZXNzYWdlIjoiVXNlcm5hbWU6IFt1c2VyX2xvZ2luXTxiciBcLz5QYXNzd29yZDogW3Bhc3N3b3JkXTxiciBcLz5bbG9naW5fdXJsXSIsInN1Yl9yZWRpcmVjdF9lbWFpbF9leGlzdHMiOiIiLCJmaWVsZF93cmFwcGVyIjoiPGRpdiBbZmllbGRfc2hlbGxfY2xhc3Nlc10gW2ZpZWxkX3NoZWxsX3N0eWxlc10+W2ZpZWxkXTxcL2Rpdj4ifSwiZmllbGRzIjpbeyJsYWJlbCI6IiIsInBsYWNlaG9sZGVyIjoiRmlyc3QgTmFtZSIsImh0bWwiOiJ0ZXh0IiwidmFsdWUiOiIiLCJtYW5kYXRvcnkiOiIxIiwibmFtZSI6ImZpcnN0X25hbWUiLCJic19jbGFzc19pZCI6IjYiLCJkaXNwbGF5IjoiIiwibWluX3NpemUiOiIiLCJtYXhfc2l6ZSI6IiIsImFkZF9jbGFzc2VzIjoiIiwiYWRkX3N0eWxlcyI6IiIsImFkZF9hdHRyIjoiIiwidm5fb25seV9udW1iZXIiOiIwIiwidm5fb25seV9sZXR0ZXJzIjoiMCIsInZuX3BhdHRlcm4iOiIwIiwiZGVmX2NoZWNrZWQiOiIwIn0seyJsYWJlbCI6IiIsInBsYWNlaG9sZGVyIjoiTGFzdCBOYW1lIiwiaHRtbCI6InRleHQiLCJ2YWx1ZSI6IiIsIm1hbmRhdG9yeSI6IjAiLCJuYW1lIjoibGFzdF9uYW1lIiwiYnNfY2xhc3NfaWQiOiI2IiwiZGlzcGxheSI6IiIsIm1pbl9zaXplIjoiIiwibWF4X3NpemUiOiIiLCJhZGRfY2xhc3NlcyI6IiIsImFkZF9zdHlsZXMiOiIiLCJhZGRfYXR0ciI6IiIsInZuX29ubHlfbnVtYmVyIjoiMCIsInZuX29ubHlfbGV0dGVycyI6IjAiLCJ2bl9wYXR0ZXJuIjoiMCIsImRlZl9jaGVja2VkIjoiMCJ9LHsibGFiZWwiOiIiLCJwbGFjZWhvbGRlciI6IkVtYWlsIiwiaHRtbCI6ImVtYWlsIiwidmFsdWUiOiIiLCJtYW5kYXRvcnkiOiIxIiwibmFtZSI6ImVtYWlsIiwiYnNfY2xhc3NfaWQiOiIxMiIsImRpc3BsYXkiOiJyb3ciLCJtaW5fc2l6ZSI6IiIsIm1heF9zaXplIjoiIiwiYWRkX2NsYXNzZXMiOiIiLCJhZGRfc3R5bGVzIjoiIiwiYWRkX2F0dHIiOiIiLCJ2bl9vbmx5X251bWJlciI6IjAiLCJ2bl9vbmx5X2xldHRlcnMiOiIwIiwidm5fcGF0dGVybiI6IjAiLCJkZWZfY2hlY2tlZCI6IjAifSx7ImxhYmVsIjoiIiwicGxhY2Vob2xkZXIiOiJTdWJqZWN0IiwiaHRtbCI6InRleHQiLCJ2YWx1ZSI6IiIsIm1hbmRhdG9yeSI6IjEiLCJuYW1lIjoic3ViamVjdCIsImJzX2NsYXNzX2lkIjoiMTIiLCJkaXNwbGF5Ijoicm93IiwibWluX3NpemUiOiIiLCJtYXhfc2l6ZSI6IiIsImFkZF9jbGFzc2VzIjoiIiwiYWRkX3N0eWxlcyI6IiIsImFkZF9hdHRyIjoiIiwidm5fb25seV9udW1iZXIiOiIwIiwidm5fb25seV9sZXR0ZXJzIjoiMCIsInZuX3BhdHRlcm4iOiIwIiwiZGVmX2NoZWNrZWQiOiIwIn0seyJsYWJlbCI6IiIsInBsYWNlaG9sZGVyIjoiTWVzc2FnZSIsImh0bWwiOiJ0ZXh0YXJlYSIsInZhbHVlIjoiIiwibWFuZGF0b3J5IjoiMSIsIm5hbWUiOiJtZXNzYWdlIiwiYnNfY2xhc3NfaWQiOiIxMiIsImRpc3BsYXkiOiJyb3ciLCJtaW5fc2l6ZSI6IiIsIm1heF9zaXplIjoiIiwiYWRkX2NsYXNzZXMiOiIiLCJhZGRfc3R5bGVzIjoiIiwiYWRkX2F0dHIiOiIiLCJ2bl9vbmx5X251bWJlciI6IjAiLCJ2bl9vbmx5X2xldHRlcnMiOiIwIiwidm5fcGF0dGVybiI6IjAiLCJkZWZfY2hlY2tlZCI6IjAifSx7ImxhYmVsIjoiU2VuZCIsInBsYWNlaG9sZGVyIjoiIiwiaHRtbCI6InN1Ym1pdCIsInZhbHVlIjoiIiwibWFuZGF0b3J5IjoiMCIsIm5hbWUiOiJzZW5kIiwiYnNfY2xhc3NfaWQiOiI2IiwiZGlzcGxheSI6IiIsIm1pbl9zaXplIjoiIiwibWF4X3NpemUiOiIiLCJhZGRfY2xhc3NlcyI6IiIsImFkZF9zdHlsZXMiOiIiLCJhZGRfYXR0ciI6IiIsInZuX29ubHlfbnVtYmVyIjoiMCIsInZuX29ubHlfbGV0dGVycyI6IjAiLCJ2bl9wYXR0ZXJuIjoiMCIsImRlZl9jaGVja2VkIjoiMCJ9LHsibGFiZWwiOiJSZXNldCIsInBsYWNlaG9sZGVyIjoiIiwiaHRtbCI6InJlc2V0IiwidmFsdWUiOiIiLCJtYW5kYXRvcnkiOiIwIiwibmFtZSI6InJlc2V0IiwiYnNfY2xhc3NfaWQiOiI2IiwiZGlzcGxheSI6IiIsIm1pbl9zaXplIjoiIiwibWF4X3NpemUiOiIiLCJhZGRfY2xhc3NlcyI6IiIsImFkZF9zdHlsZXMiOiIiLCJhZGRfYXR0ciI6IiIsInZuX29ubHlfbnVtYmVyIjoiMCIsInZuX29ubHlfbGV0dGVycyI6IjAiLCJ2bl9wYXR0ZXJuIjoiMCIsImRlZl9jaGVja2VkIjoiMCJ9XSwib3B0c19hdHRycyI6eyJiZ19udW1iZXIiOiI0In19LCJpbWdfcHJldmlldyI6ImJhc2UtY29udGFjdC5qcGciLCJ2aWV3cyI6IjEzODgiLCJ1bmlxdWVfdmlld3MiOiIxMzUyIiwiYWN0aW9ucyI6IjAiLCJzb3J0X29yZGVyIjoiMSIsImlzX3BybyI6IjAiLCJhYl9pZCI6IjAiLCJkYXRlX2NyZWF0ZWQiOiIyMDE2LTA1LTAzIDE1OjAxOjAzIiwiaW1nX3ByZXZpZXdfdXJsIjoiaHR0cHM6XC9cL3d3dy5hZnJpY2Fpbmxpb25hd2FyZHMuY29tXC93cC1jb250ZW50XC9wbHVnaW5zXC9jb250YWN0LWZvcm0tYnktc3Vwc3lzdGljXC9hc3NldHNcL2Zvcm1zXC9pbWdcL3ByZXZpZXdcL2Jhc2UtY29udGFjdC5qcGciLCJ2aWV3X2lkIjoiMjZfNjEyNTcxIiwidmlld19odG1sX2lkIjoiY3NwRm9ybVNoZWxsXzI2XzYxMjU3MSIsImNvbm5lY3RfaGFzaCI6ImRlMWMyYzJjNTNhYTczMTI4MWE2MTgwMzhiYjFkMWUwIn0=